« Pendant plus d'un siècle, les grandes puissances colonisatrices ont exhibé des êtres humains arrachés à leur terre natale. Retracée dans ce passionnant documentaire, cette "pratique" a servi bien des intérêts. » Tiré du site.

Articles de :

Yves FROIDEVAUX, Nature et artifice : Village suisse et Village nègre à l’Exposition nationale de Genève, 1896.

et Natacha AUBERT, Notes sur la tradition du Village suisse après 1896. 

« Cirque Knie, Zoo de Bâle, Comptoir suisse de Lausanne, Exposition nationale de Genève, Schweizerhalle de Fribourg… Autant de lieux où l’on a pu voir, entre la fin des années 1880 et le début des années 1960, des "nègres" en Suisse. Présentés en cage comme des animaux ou dans des spectacles exotiques, ces femmes et hommes attisaient la curiosité de la population et des scientifiques parce qu’ils représentaient le chaînon manquant entre l’homme et l’animal. » Tiré du site.

Article paru dans le Temps en 2011.

En 1998, l’année de la victoire de l’équipe de France en coupe du monde de football, Didier Daeninckx publie Cannibales, un roman inspiré de l’exposition coloniale de 1931 et d’un « zoo humain » où des Kanaks de Nouvelle-Calédonie sont exhibés comme des animaux.

En faisant ses recherches, Daeninckx s’arrête sur une photo où figure un certain Willy Karembeu. Il se demande s'il fait partie de la famille du célèbre footballeur Christian Karembeu. Il contacte ce dernier, qui le reçoit et reconnaît, sur la photo, son arrière-grand-père ainsi que deux autres personnes de sa famille.

Exposition Coloniale 1931. « Les Chefs Kanaks, hommes et femmes de la Grande Terre et des Iles qui composaient cette expédition culturelle, furent trompés sur le but du voyage par un homme d'affaire peu scrupuleux, et les Kanak furent montrés et humiliés comme des "animaux sauvages" au Jardin d'acclimatation du Bois de Boulogne, à Paris. » Tiré du site.

« A l'occasion de l'exposition 'Le Havre - Dakar, partager la mémoire', le Muséum du Havre vous dit tout de l'objet le plus emblématique de l'art africain : le masque. » Tiré du site.

Extraits de « Mon voyage jusqu’au lac Nyassa alors que le Major von Wissmann y fit transporter un steamer » de Selim bin Abakari. Pour des informations complémentaires sur l’auteur et sur le recueil de témoignages de voyageurs swahili, voir les infos-sources pour les documents 47 et 48.