"En 1847, le jeune médecin viennois Ignaz Semmelweis entreprend d’établir des statistiques de mortalité dans deux maternités voisines. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : davantage de femmes meurent lorsqu’elles sont accouchées par des médecins plutôt que par des sages-femmes. En cause : le fait que les médecins et les chirurgiens pratiquaient jusque-là leur art sans jamais se laver les mains." Tiré du site.

« La vie et l'œuvre de Ignace-Philippe Semmelweis, cette grande figure de la médecine fut choisie par Céline (Louis-Ferdinand Destouches, dit) en 1924 comme sujet pour sa thèse de doctorat en médecine. Il en a fait un héros de la médecine moderne. » Tiré du site, dossier Portraits de Médecins.

« Florence Nightingale a permis au métier d'infirmière de devenir honorable, indispensable et gratifiant. C'est pourquoi les pays du monde entier célèbrent les femmes et les hommes qui exercent cette profession le 12 mai, jour de sa naissance. » Tiré du site.

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« Florence Nightingale, dont on fête cette année le

200ème anniversaire, était loin d’être inconnue en Suisse de son vivant. [Elle] faisait régulièrement l’actualité des revues de soins infirmiers. Elle avait en outre de nombreux liens avec Henry Dunant, le fondateur de la Croix-Rouge, qui s’est beaucoup inspiré d’elle. » extrait de l’article de Sabine Braunschweig.

« Le métier d’infirmier et d’infirmière tel qu’on le connaît, ce sont deux femmes hors du commun qui l’ont développé :  Florence Nightingale et Valérie de Gasparin, [une Suissesse] ». Tiré du site qui contient une intéressante vidéo.

« Eugène Poubelle, préfet de Paris, a œuvré à l'assainissement de la capitale. Au point de donner son nom aux bacs à ordures qu'il a généralisés. » Tiré du site.

« La doctoresse Champendal a écrit, entre autres, un "best-seller" de l'époque, maintes fois réédité : Comment soigner nos enfants, le petit manuel des mères que l'on trouve encore dans certaines bibliothèques publiques. » Tiré du site.

On y trouve un lien intéressant vers un poster d’Unige.ch « Qui rencontre-t-on dans une Goutte de lait ?»

« Dans certaines villes de la Suisse romande, existe l'œuvre de la « Goutte de lait ». Cette institution philanthropique s'occupe non seulement de l'alimentation des jeunes nourrissons, mais aussi de tout ce qui a trait à la puériculture. » Article signé C. L...n., dans le journal valaisan Le Rhône, du 8 novembre 1932.

« Première Genevoise reçue docteur en médecine (1900), elle pratiqua dans les quartiers populaires de Genève. Elle fonda, à l'exemple du médecin parisien Gaston Variot, la Goutte de Lait, centre de distribution de lait pasteurisé pour nourrissons et bureau de consultation pour les mères (1901) et l'école d'infirmières Le Bon Secours (1905). » Tiré du site. Article Marguerite Champendal d’Ingrid Müller-Landgraf sur le site du DHS.